Notice biographique
(Sorel, novembre 1949 - ) Détenteur d’une maîtrise et d’un doctorat (Ph.D.) de l’Université de Montréal pour un mémoire et une thèse sur le poète québécois Hector de Saint-Denys-Garneau, il a été chargé de cours (Université de Montréal, UQAM, Cégep de Rosemont) dans la seconde moitié des années 1970, avant de devenir traducteur pour diverses maisons d’éditions : Fides, PUM, Les Herbes Rouges, XYZ, Les heures bleues, Bellarmin, Libre Expression, Du Roseau, Héritage, Trécarré, Novalis / Bayard, France-Amérique.
... Parmi ses traductions, signalons L’arbre du danger (Macfarlane), Ma vie traduite, revue et corrigée (Blaise), Un visage à la Botticelli (Valgardson), L’équilibre sacré (Suzuki), Pour un nouvel art de vivre (Ikeda, Simard et Bourgeault), Fille à papa (Vale Allen), Dans la mer de Gros-Pierre (Pittman), Une histoire du monde arctique (McGhee), L’oiseau noir (Basilières). Il a collaboré au Devoir de 1984 à 1988 et à Music / Musique, revue du Centre national des Arts, en 1980 et 1981. Il compte à son actif plus de quinze recueils de poésie, essentiellement publiés aux Éditions du Noroît. La poétesse et éditrice américaine Andrea Moorhead, qui a compilé son anthologie (La déchirure des mots, Noroît, 2007) et qui en a signé la préface, a traduit certains de ses textes publiés aux États-Unis et en Angleterre ; d’autres ont paru en Colombie-Britannique, à l’automne 2006, dans une traduction de Jonathan Kaplansky. Jean Chapdelaine Gagnon écrit aussi depuis quelques années des textes documentaires pour Les heures bleues, maison qui publiait en 2007 son Petit abécédaire des oiseaux, dans lequel il s’adonne à des vers fantaisistes, et en 2012 son Abécédaire du père Noël, véritable conte en vers. Au fil des ans, il a également assuré la révision, parfois même la réécriture, d’une bonne centaine de manuscrits.
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